varicelle

Bon ça fait un moment que je voulais ecrire ce post, il est jamais trop tard.Voici ce que je comptais vous écrire l'été dernier sur la varicelle chez l'enfant .

Alors quoi de mieux qu’un sujet sur la varicelle pour relancer la machine. Elle guette depuis un moment celle là. Début juin c’est toute la section des petits, à la crèche de mon fils qui a été touchée. Une véritable hécatombe. Au cours du mois elle s’est propagée.

Et la semaine dernière c’est Margounette, la copine de nounou de mon fils, qui était infestée de boutons. Mais pour mon fils, toujours rien jusqu’à ce lundi, où quelques petites taches rouges ont discrètement fait leur apparition pour rapidement ne plus être discrètes du tout.

Le verdict est sans appel : mon fils attrape la varicelle alors que la France souffre d’une canicule comme on n’en a pas vu depuis les calandres grecques, selon les météorologues qui passent en boucle à la télé depuis une semaine. Les conditions idéales pour avoir 38° de fièvre. Mais surtout, qui dit varicelle dit pas de soleil et pas de piscine !!! Pauvre chéri. Pourtant et malgré cette fièvre, ces vilains boutons et ces restrictions, mon fils a l’air de plutôt pas trop mal prendre la maladie. Il se marre toujours et semble même un peu fier de ses boutons.

Du moins il ne se prive pas de dire à tous le monde qu’il a lui aussi des boutons, comme sa copine Margounette. Cet après-midi il est allé voir le docteur. Qui, très sympathique au demeurant, a déclaré que ça ne valait pas la peine de venir consulter pour ça… Heureusement, Mamounette s’est longuement documentée sur le sujet. Au fait elle est sur la brèche depuis début juin et n’attendait plus que l’arrivée des premiers boutons.

Dès lundi elle a mis en branle son plan d’action : coupage des ongles au plus courts pour éviter les grattages destructeurs et les infections dues à la mauvaise hygiène, petite douche quotidienne et séchage rigoureux, application minutieuse de désinfectant et d’un crème dont le nom m’échappe sur les pustules les plus purulentes.

Et surtout : de la prévention avec une approche psychologique travaillée pour expliquer à mon fils qu’il fallait bien prendre soin de ses boutons et surtout ne pas les gratter. Le médecin a annoncé 15 jours de galères. 5 sont déjà passés…